Le Comité technique et le Comité scientifique s'expriment

La présentation des deux Comités à l'aide des hypothèses da travail émises lors de la première réunion au mois de mai dernier

Il Comité technique, costituito recentemente con delibera di Giunta n. 1387 dell'8/ 5/2000, per "... donner des suggestions en partant des richesses des écoles et des manques théoriques : information, formation, diffusion...", è formato da un rappresentante per ogni ordine di scuola, dell'università, della formazione dei docenti e dell'Amministrazione.
Esso si è riunito per la prima volta il 25 maggio scorso. Nel corso della riunione, il Direttore della rivista, Giovanna Sampietro, nel dare lettura dell'ordine del giorno, ha ribadito i compiti e il ruolo di questo nuovo gruppo di lavoro.

Ordre du jour présenté aux Comités

• Présentation de chaque membre du Comité centrée sur les compétences et les expériences utiles pour la connaissance réciproque des membres du Comité.

• Jugement critique sur les deux derniers numéros de la revue.

• Considérations et hypothèses de travail en fonction des compétences attribuées aux Comités aux termes de la délibération régionale n° 3359 du 4 octobre 1999.

• Recherche d'une méthode de travail efficace et partagée par le Comité et ses membres.

• Contributions et suggestions possibles de la part de chaque membre.

• Repérage des prochains défis de la revue.

• Présentation de chaque membre du Comité centrée sur les compétences et les expériences utiles pour la connaissance réciproque des membres du Comité.

Tutti conoscono la rivista ed hanno già lavorato con la redazione per la pubblicazione di articoli; comunque ciascuno si presenta ai colleghi indicando il proprio ambito di lavoro, le proprie competenze ed esperienze:

• Paola Avenatti, insegnante di scuola materna, è distaccata come collaboratore del Direttore nel Circolo didattico di Verrès;

• Emilia Campobassi, insegnante di lingua francese alla scuola media di Nus - Sezione staccata del Villair, è insegnante formatore e Funzione Obiettivo;

• Germano Dionisi, distaccato I.R.R.S.A.E. Valle d'Aosta, si occupa della formazione degli insegnanti;

• Josette Favre, è insegnante di scuola elementare a Valpelline ;

• Carmen Jacquemet, insegnante di scuola elementare, è rappresentante del Cours de Maîtrise en Sciences de la Formation Primaire di Aosta in quanto coordinatore del tirocinio degli studenti;

• Luisa Marchetti, Direttore della Direzione delle Politiche Educative, rappresenta l'Amministrazione regionale;

• Barbara Wahl, è insegnante di lingua francese presso il Liceo Classico di Aosta.

• Jugement critique sur les deux derniers numéros de la revue.
Alla richiesta del Direttore della rivista di indicare i punti deboli e i punti forti della rivista e di esprimere un parere personale in particolare sugli ultimi due numeri, tutti si complimentano per l'attuale impostazione grafica.
In particolare viene sottolineato:

• che è evidente lo sforzo di trovare un equilibrio tra i diversi ordini di scuola;

• che per questo motivo tutti gli insegnanti possono utilizzare la rivista;

• che le esperienze, presentate non come ricette da copiare, sono già state vissute a scuola, quindi sono realizzabili;

• che è interessante ritrovare anche un ritorno di quanto di teorico l'Ammini-strazione fa per gli insegnanti in riferimento ad aggiornamento e a formazione;

• che le parole chiave (continuità, aggiornamento, scuola dell'accoglienza, autonomia, bi-plurilinguismo), scelte dalla redazione come argomenti che avrebbero dovuto costituire la struttura portante della rivista, potranno continuare ad essere presenti.

• Considérations et hypothèses de travail en fonction des compétences attribuées au Comité Technique aux termes de la délibération régionale n° 3359 du 4 octobre 1999.

• Recherche d'une méthode de travail efficace et partagée par le Comité et ses membres.

• Contributions et suggestions possibles de la part de chaque membre.

La discussione si vivacizza alla esplicita richiesta del Direttore di collaborare con la redazione della rivista, per riflettere e lavorare contemporaneamente sul piano teorico e su quello pratico, tenendo presente la nostra realtà locale senza dimenticare ciò che succede intorno a noi, fuori dalla Regione, in Italia ed all'estero.
Partendo dal presupposto che la concettualizzazione nasce dall'analisi di esperienze significative, una possibile traccia di percorso lavorativo potrebbe essere:

• individuazione dei temi da trattare;

• lettura del «terrain»;

• raccolta di esperienze e di riflessioni;

• rianalisi di tali dati all'interno del Comité scientifique, che li userà come mappa della scuola valdostana, per fornire ulteriori contributi teorici;

• rilettura e ridiscussione di questi contributi per farli nostri.

Alcune riflessioni:

• la concettualizzazione è un reale bisogno dei nostri lettori?

• come proporre, (eventualmente), anche le schede di lavoro?

• come e quali griglie costruire per scrivere gli articoli?

• quali saranno i temi da affrontare?

• come alternare le lingue?

• sono utili i numeri monografici?

Alcune proposte operative:

• attualizzare la rivista affrontando gli argomenti caldi del momento - autonomia, verticalizzazione, nuovi curricola - creando cultura intorno a questi temi;

• presentare molteplici punti di vista, debitamente concettualizzati, sui diversi temi affrontati;

• costruire una specie di "chat" per favorire lo scambio di opinioni tra insegnanti rispetto a diversi problemi pedagogici e didattici;

• non dimenticare l'opinione di chi vive la scuola dall'esterno;

• in particolare favorire la riflessione sulla nuova figura del docente;

• favorire la riflessione individuale o di gruppo degli insegnanti;

• mettere in rete i membri del Comité technique per favorire la comunicazione.

• Repérage des prochains défis de la revue.
Sarà compito dei membri del Comité technique segnalare esperienze ed innovazioni realizzate o in atto nelle scuole e riflettere sui temi che attraversano la scuola valdostana di volta in volta.
Alla rivista il compito di rilanciare fatti ed idee.
Molte domande e poche risposte, l'unico modo che conosciamo di lavorare, ma forse quello giusto.

Le Comité scientifique, qui vient de se créer, est formé de quatre personnalités de la pédagogie internationale. Il s'agit de :

• Maria Arcà, chercheur auprès du Centre d'études des Acides Nucléiques du C.N.R. (Consiglio Nazionale delle Ricerche) et responsable de projets de formation des enseignants en didactique des Sciences.
  En tant que formatrice, elle collabore avec plusieurs Départements universitaires en Sciences de l'Education, des Circonscriptions Scolaires et des Orga-nismes Locaux.
  Elle est aussi membre du Conseil scientifique de " Legambiente - scuola " ainsi que du Comité de lecture de la revue ASTER (INRP - Paris).
  Au Val d'Aoste, elle a donné des cours de formation en Sciences pour les enseignants du primaire.

• Jacqueline Beckers, docteur en Sciences de l'Education, chargée de cours à plein temps à la faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education de l'Université de Liège. Depuis octobre 1995, elle est secrétaire scientifique du Centre Interfacultaire de Formation des Ensei-gnants (CIFEN) et éditeur responsable de sa revue.
  Au Val d’Aoste, elle est titulaire du cours de Didactique générale, dans le programme de maîtrise (formation universitaire des maîtres de l'enseignement primaire et maternel) et de l'Ecole de Spécialisation pour les professeurs de l'enseignement secondaire (SSIS).
  Elle est également membre du Comité de proposition de cette école.

• Daniel Coste, professeur à l'Ecole Normale Supérieure - Lettres et Sciences humaines de Lyon et directeur de recherche à l'Université Paris III - Sorbonne Nouvelle (formation doctorale de " Didactologie des Langues et des cultures ").
  De 1992 à 1996, il a été directeur du CREDIF (Centre de Recherche et d'Etude pour la Diffusion du Français).
  De 1994 à 1997, il a été co-président du Groupe de projet " Langues vivantes " du Conseil de l'Europe.
  Depuis plusieurs années, il a l'occasion d'intervenir dans des rencontres en Vallée d'Aoste à propos de l'éducation bilingue.

• Etiennette Vellas, licenciée en Sciences de l'Education, chargée d'enseignement à plein temps dans la formation initiale des enseignants à la faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education de l'Université de Genève.
  De 1990 à 1995, elle a été assistante des professeurs Marcel Crahay et Philippe Perrenoud à l'Université de Genève (FPSE).
  Elle intervient dans la formation continue des enseignants .
  De 1992 à 1996, elle a réalisé au Val d'Aoste une recherche-formation sous la direction de Monica Gather Thurler (P.E.D.R.A.) dont le rapport final " Reflets de la recherche et de ses effets " a été publiée par l'I.R.R.S.A.E. Vallée d'Aoste. Toujours avec l'I.R.R.S.A.E., elle a participé à de nombreuses initiatives de formation (cours, congrès, colloques, séminaires, etc...).

• Ce Comité s'est réuni pour la première fois les 30 et 31 mai derniers. Suite à la présentation de l'historique et des finalités de la revue, ses membres ont pris connaissance des motivations qui sont à la base des nouvelles dispositions (délibération du gouvernement régional n. 3359 du 04/10/1999).
La présentation leur a également permis de poser - aussi bien au Directeur qu'à toute l'équipe pédagogique - une série de questions préalables au déroulement des séances :

• qui sont les lecteurs de la revue ? (les résultats du questionnaire soumis aux lecteurs en 1998 ont répondu, en partie, à cette question)

• quelle est la distribution des lecteurs par rapport aux degrés scolaires ?

• l'école supérieure a-t-elle toute sa place à l'intérieur de la revue ?

• y a-t-il une cible particulière à toucher ?

• y a-t-il de la concurrence, c'est-à-dire une autre revue de pédagogie en Vallée d'Aoste ?

• quels sont les lieux de parole pour discuter des problèmes didactiques et pédagogiques ?

• existe-t-il un réseau informatique de support à la revue ?

Questions importantes et qui sont à la base de toute réflexion sur le public de la revue pour tâcher de répondre à l'effort manifesté par l'équipe pédagogique : celui de construire un projet cohérent suivant une ligne éditoriale précise et non épisodique, avec des objectifs immédiats et à long terme :

• la fidélisation des lecteurs par des points de repères précis et réguliers ;

• l'orientation des articles ;

• la cohérence à l'aide d'un fil rouge qui relie les contributions.

• Suite à la lecture de la délibération du Gouvernement régional n. 3359 du 4 octobre 1999 - article 9 concernant les fonctions du Comité Scientifique - paragraphe 1, alinéa 1 : " il contribue à la constitution d'un modèle théorique de référence ", le débat s'est véritablement ouvert.
Tous les membres se sont questionnés sur ce modèle, c'est-à-dire sur l'opportunité de choisir un seul modèle théorique de référence. Un choix très dangereux parce qu'il sous-entend une école dont la pensée est unique. Le Comité préférerait l'expression : un " modèle théorique aux références plurielles " puisque ce sont les différentes façons de regarder qui problématisent l'école et par conséquent les questions traitées dans la revue.
L'originalité de l'expérience de l'école valdôtaine, que la revue contribuirait à traiter sur la base de ce modèle théorique pluriel (art. 3 - finalités), devrait s'exprimer par la richesse des apports conceptuels et ne devrait générer aucun séparatisme.
Il faudrait également expliciter l'école que l'on voudrait construire et à laquelle on voudrait faire référence.
La question de l'originalité devra probablement être posée dans un deuxième temps, lorsque la revue sera un peu plus solide et plus connue.
La revue, en ce moment, devrait plutôt se positionner au cœur des questions pédagogiques européennes. Situer le Val d'Aoste dans la transformation générale des systèmes éducatifs européens et l'inscrire dans une dynamique constante serait le prochain défi.
Inutile de produire seulement des théories ; inutile aussi de décrire uniquement les réalisations concrètes. Il serait souhaitable de les problématiser pour en construire une théorisation et progresser vers plus d'articulation théorie-pratique.
Voilà que, pour Jacqueline Beckers, la revue pourrait se fixer un autre objectif encore: la formation des enseignants.

Le Comité a précisé, par la suite, qu'il n'est pas un Comité de lecture et qu'il n'a d'autre fonction que celle d'orienter les articles sur la base de l'art. 9:
" le Comité signale les grands thèmes de la pédagogie contemporaine et il les transmet à la rédaction pour qu'ils deviennent, à l'aide du Comité technique, les lignes d'orientation de la revue ".

Jugement critique sur les derniers numéros de la revue

Tous les membres ont relevé un aspect esthétique attrayant et un nombre admirable de sorties. Ils ont affirmé qu'il y a plein de choses à conserver et surtout qu'il ne faut absolument pas couper l'élan des enseignants. Le fait d'avoir des professeurs qui spontanément demandent à collaborer est un fait indiscutablement positif. Il ne faut pas risquer de le perdre par des jugements sur leurs récits. Une approche plus kaléidoscopique sur leurs expériences favoriserait davantage la liberté d'expression.
Le Comité nous a fait remarquer que s'adresser à tous les ordres d'école - aspect tout à fait singulier dans le panorama éditorial scolaire - représente à la fois un point fort et un point faible. En effet, s'occuper de plusieurs degrés est l'une des caractéristiques de cette revue qui s'adresse à un public très différencié.
Cette particularité oblige la rédaction à être constamment attentive à l'équilibre des niveaux concernés. Un équilibre qui n'est pas toujours facile à atteindre à partir du moment où elle ne veut pas perdre les lecteurs fidèles et désire, en même temps, con-quérir ceux qui ne lisent pas encore la revue.
Il faudrait éviter de donner à l'intérieur l'image " effet patiné " de la couverture, éviter également les présentations uniformes des articles. Il faudrait aussi problématiser les questions posées et favoriser la critique constructive.
Mais comment ? En créant, peut-être, des occasions de débat, des éclairages différents sur une pratique pour qu'elle puisse vraiment favoriser la formation.
Les différents regards pourraient, en outre, faciliter le passage de la pratique à la conception théorique.

Propositions générales pour le futur

D'après Daniel Coste, il serait utile de créer des rubriques nouvelles, en vue de mener des contacts à l'extérieur et de favoriser les échanges avec d'autres revues européennes.

Suggestions :

• une revue invitée ! Inviter, de temps en temps, une revue à s'exprimer sur un thème;

• reproduire un article déjà paru dans d'autres revues pédagogiques ;

• interviewer des protagonistes de la pédagogie européenne ;

• revoir les rubriques et leurs contenus.

Maria Arcà a mis l'accent sur l'importance du savoir comme instrument cognitif. Peut-être, faudrait-il dorénavant, prêter beaucoup plus d'attention au processus d'apprentissage, moteur de la construction du savoir.
En outre, il faudrait envisager des stratégies pour redonner de la valeur à l'enseignement/apprentissage, de façon à le rendre intéressant.

Rédaction équilibrée des récits

Le Comité a constaté qu'il est difficile de trouver dans les récits un équilibre entre les aspects positifs et négatifs. Faut-t-il canaliser les narrations des expériences faites par les enseignants ? s'est demandée Jacqueline Beckers. Il est indispensable de ne pas perdre la richesse de ces contenus tout en les invitant au questionnement et au recul critique.
Puisque la théorie de l'enseignant c'est le récit, a souligné Etiennette Vellas, il faudra ne pas l'oublier. Il s'agira de parvenir à expliquer des écrits théoriques et des récits de praticiens réflexifs.

Le dossier : une proposition plus spécifique

Pour répondre à la critique d'une revue trop uniforme, le Comité a proposé d'insérer un dossier thématique qui peut se substituer à l'actuel fil rouge pour surprendre et attirer encore plus le lecteur.
Le dossier peut représenter aussi l'occasion où l'on croise les regards : un discours disciplinaire avec un apport anthropologique et social.
Mais il faut aussi que le dossier construise la continuité (qu'il y ait de la continuité entre les articles qui concernent les différents degrés) et que le bilinguisme traverse les contenus.
Les thèmes des dossiers doivent être " porteurs " : l'histoire du 20ème siècle, l'auto-évaluation, le professionnalisme dans le métier d'enseignant...

Fonctions des membres face aux thèmes

Le Directeur, après avoir envisagé les membres du comité comme rapporteurs, points de référence des thèmes choisis, pense pouvoir leur poser, dans le futur, des questions et se servir de leurs précieux conseils.
Par rapport à ces thèmes, comment alors placer leurs contributions ?

Hypothèses émises

Caractéristiques des objets les plus proches des compétences des membres :

Transversaux avec une relation thématique de la maternelle à l'Université :
connaissances/compétences (Beckers) ; la place des questions à l'école (Vellas/Beckers) ; la construction du sens (Vellas).

Disciplinaires :

• articulation de la diversité des textes et des disciplines de la maternelle à l'université (math./histoire - Coste) ;

• un parcours en sciences à spirale pour les différents ordres d'école (Arcà).

Provocateurs :

• l'histoire traitée d'habitude avec des entrées et des représentations trop locales peut devenir avec des ruptures idéologiques / méthodologiques un sujet intéressant à traiter;

• les mathématiques ; la didactique des maths, qui est la plus construite, peut être déconstruite et problématisée par des apports transversaux et provocateurs.

Thèmes à traiter

D'après Daniel Coste, il faudrait choisir des thématiques pas trop hautes, pas forcément globales et s'interroger sur des objets qui contribuent à faire réfléchir les gens. Il compare, par exemple, les objets à des leviers qui incitent à la réflexion, d'où la nécessité de focaliser l'attention sur ceux que les enseignants abordent déjà. Les pistes de réflexions déjà évoquées
concernent aussi bien les aspects transversaux que didactiques :

• continuité/discontinuité entre les méthodologies ;

• les relations entre les expériences communes et les réélaborations scientifiques ;

• diversité des textes et des disciplines de la maternelle à l'université ;

• mathématiques croisées avec tout ce qui fait continuité ;

• penser l'engagement : la responsabilité individuelle et collégiale ;

• où on en est des modes de faire socio-constructivistes ;

• organisation du travail scolaire : ça commence où et ça s'arrête où ? ;

• les réformes scolaires : ça appartient à qui ?

• cycles d'apprentissage¹ : où en est-on en Europe, au Canada, au Val d'Aoste ?

• les lieux de parole : les conseils de classes, les conseils d'écoles, la construction du lien social : la loi.

Comment s'y prendre

Afin de mieux cerner les thématiques essentielles, Etiennette Vellas a proposé d'y revenir par la suite pour offrir des suggestions plus précises et pour envisager l'apport des membres aux différents thèmes.
Daniel Coste a proposé de retenir un principe : alterner, dans l'élaboration des dossiers thématiques, les objets (transversaux, disciplinaires, provocateurs). Chaque année, sur cinq numéros, il faudrait qu'il y ait au moins un dossier à dominante disciplinaire.
Jacqueline Beckers, en accord, a ajouté que pour marquer cette volonté, il faudrait commencer par un dossier disciplinaire : par exemple, les mathématiques.

Questions ouvertes

Quel rapport entre la partie consacrée au dossier et le reste de la revue ?
Le Comité travaillerait uniquement sur le dossier ?
Puisque la revue couvre tous les degrés scolaires et qu'elle est gratuite, des problématiques surgissent :

• la nécessité d'expliciter les besoins des enseignants de l'école secondaire du 2^ème degré, école encore disciplinariste ;

• la diffusion à l'étranger et dans le reste de l'Italie à un prix raisonnable.

Prochains défis :

• situer l'école valdôtaine dans la transformation générale des systèmes éducatifs européens et l'inscrire dans une dynamique constante ;

• mener des contacts à l'extérieur ;

• équilibrer les cibles en tenant compte des difficultés à les déterminer et à les représenter ;

• maintenir la relation entre la revue et les dispositifs de la formation continue ;

• mettre la revue sur Internet et communiquer directement avec les membres du Comité au moyen de l'ordinateur du bureau de l'Ecole Valdôtaine ;

• concevoir avec le graphiste une revue moins enfantine, plus adulte et toujours plus attrayante.

• Ces deux premières séances avec le Comité scientifique ont été très riches en suggestions et ont permis d'aborder soit les aspects liés aux contenus des arguments à traiter soit ceux plus opérationnels liés à l'efficacité organisationnelle du " team " qui vient de se former ; le tout en vue d'une conception toujours plus dynamique, stimulante et compétente de la revue.

L'Équipe pédagogique

Note
¹ Voir la conception de la " modularità " dans l'enseignement/apprentissage.