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A.L.I.C.E.
1er document d'étape
Quelques
concepts de référence
Situation
d'apprentissage
II s'agit
d'un ensemble de circonstances dans lesquelles nous construisons des connaissances
nouvelles. Du point de vue cognitiviste, apprendre, c'est modifier durablement
ses représentations et ses schèmes d'action. A l'école,
la situation d'apprentissage est un dispositif didactique qui comprend
les moments suivants:
1.
Analyse par l'enseignant
- De la
situation initiale (contexte)
- De l'état initial des connaissances des élèves
: les objets, les questions sur lesquels les élèves vont
travailler ont souvent été rencontrés dans la vie.
Avant tout apprentissage, les enfants ont essayé de comprendre
le monde, pour pouvoir agir sur lui et s'y adapter. Ils ont fait un réel
travail cognitif pour structurer leur experience, pour élaborer
des " systèmes explicatifs ". Ils ont des " représentations
", des " théories " du monde c'est-à-dire,
d'une certaine façon, des "savoirs", leurs savoirs. Ils
ont aussi des connaissances plus objectives, transmises par la culture
dans laquelle ils vivent. Ils abordent donc les situations d'apprentissage
scolaire avec cet ensemble de " représentations initiales
" qui leur permettent de décrire, expliquer, comprendre un
événement ou une situation.
Pour pouvoir construire une situation d'apprentissage qui transforme ces
représentations et amène l'enfant vers un fonctionnement
cognitif supérieur, il est nécessaire que l'enseignant les
connaisse, c'est-à-dire les recueille à l'aide de différents
outils (observation, conversations, dessins, etc.), les analyse et les
évalue.
- Des motivations des élèves : c'est-à-dire de leurs
intérêts, mais aussi de leurs envies d'apprendre (on aimerait
bien savoir ou savoir faire cela), de leur curiosité, de leur capacité
à envisager un projet. Cette analyse permet à l'enseignant
de choisir la question ou le problème par lesquels il va introduire
la situation d'apprentissage. Elle lui permet aussi de présenter
cette situation de telle sorte que les élèves se construisent
des buts à plus ou moins long terme et prennent part à l'évolution
de la situation d'apprentissage.
2.
Définition des objectifs
- par
référence aux Orientations,
- par référence à l'analyse initiale
3.
Choix, mise en place et travail d'une situation d'apprentissage
a) L'enseignant
met en place l'ensemble des conditions :
- question, problème et types d'activités,
- présentation de la place et de la fonction des activités
les unes par rapport aux autres,
- supports de travail,
- organisation (travail individuel, en petits groupes, en groupe-classe),
- ressources matérielles et/ou documentaires,
- cadrage du temps.
b) Ces conditions vont permettre à l'élève d'entrer
dans l'activité cognitive d'apprentissage, c'est-à-dire:
- d'observer et analyser le matériel, les outils qui lui sont proposés,
- de se reformuler la question, la consigne, de se représenter
la tâche, de l'organiser, de la planifier, seul ou avec les autres,
- de rechercher dans sa mémoire les connaissances dont il pense
pouvoir se servir,
- de rechercher les outils dont il pense avoir besoin,
- d'explorer, de tâtonner et d'utiliser ce qu'il trouve ainsi pour
chercher plus efficacement pour faire des hypothèses et des essais,
- de poser des questions, d'apporter des idées, les échanger,
les confronter avec celles des autres,
- de présenter ses stratégies, ses procédures, de
comprendre celles des autres, de les essayer, de les comparer avec les
siennes,
-de juger, d'argumenter,
-de demander de l'aide,
- d'évaluer son travail en cours de réalisation (où
en suis-je ? est-ce que je fais bien ce que j'avais décidé
de faire ? qu'est-ce qui me reste à faire? etc.),
- de rechercher des régularités, de formuler des remarques,
de les conserver pour construire la formulation terminale. Toutes ces
dimensions du travail cognitif sont organisées et soutenues par
l'activité langagière, par un "usage cognitif du langage",
- activité d'abord relayée par l'enseignant qui donne à
l'enfant des mots pour penser ce qu'il est en train de faire, pour en
prendre conscience, pour y faire attention volontairement,
- puis sollicitée explicitement, de sorte que le langage intérieur
se mette en place (dis-toi dans ta tête ce que tu dois faire : quand
tu auras fini, tu nous expliqueras ce que tu as fait, etc.),
- avec le souci de donner les "mots justes", ceux qui disent
précisément ce qu'on est en train de faire, dans un travail
de reformulation et de paraphrasage,
- et dans l'objectif de développer chez l'enfant un contrôle
toujours plus efficace de son activité cognitive.
4.
Formulation, mise en mots de ce qu'on a découvert.
Il s'agit
de faire la synthèse des expériences et des remarques en
formulant des énoncés généraux qui fixent
un état provisoire de connaissances. Ces énoncés,
conservés dans des affichages, dans un " cahier de classe
", et mémorisés, serviront d'appui à l'élève
pour :
- traiter des situations semblables,
- aborder des situations nouvelles et différentes,
- continuer à apprendre.
C'est le rappel systématique de ces énoncés, toutes
les fois qu'on en a besoin, dans des mises en mots variées, qui
est le principal outil de mémorisation. Il fixe en mémoire
les connaissances acquises et montre à l'enfant comment il doit
se servir de sa mémoire pour travailler.
5.
Exercice
II faut
faire de mieux en mieux et de plus en plus vite dans des situations semblables
(généraliser et automatiser). Il faut étendre ce
qu'on vient d'apprendre à d'autres situations (décontextualiser).
L'exercice est un temps essentiel du processus d'apprentissage.
6.
Evaluation
II s'agit
de faire le point sur ce qu'on a retenu, sur ce qu'on sait bien faire,
sur ce qui reste difficile, sur ce qu'il faut continuer à travailler.
Contexte
1.
Contexte scolaire
Définition
générale : système des relations que l'enfant entretient
avec les adultes et les autres enfants qui sont autour de lui dans l'école
et avec le milieu scolaire, physique et institutionnel.
2.
Contexte d'apprentissage
C'est
l'ensemble des conditions qui interviennent dans la situation d'apprentissage.
Si l'on accorde de l'importance au contexte, c'est que ces conditions
sont mises en mémoire en même temps que les connaissances.
Le contexte contribue à la mémorisation des connaissances,
il contribue aussi à leur récupération. Lorsque l'élève
reconnaît, dans une situation nouvelle, des indices qui lui rappellent
le contexte d'apprentissage, il retrouve plus efficacement les connaissances
dont il a alors besoin.
Le contexte d'apprentissage comprend les aspects suivants :
a)
Le cadre général de la situation : moment de l'année,
enseignant, forme du travail, etc. C'est ce qui permet, par exemple, à
un élève de se dire : "je me rappelle, on avait fait
cela avec X", ou encore
"je me rappelle, on a déjà fait un travail comme celui-là
avec Pierre et Mathieu", et c'est ce qui permet aussi à l'enseignant
de le suggérer: "rappelez-vous, on a vu cela juste avant les
vacances de Noël". Ce cadre général peut également
contenir des éléments d'ordre affectif.
b) La motivation. Une connaissance est d'autant
mieux mémorisée qu'elle vient répondre à une
question et que le travail sur cette question a été pour
l'élève une expérience d'engagement cognitif.
c) L'aspect singulier de l'activité proposée.
C'est ce qui permet à un élève de récupérer
des connaissances, par exemple après avoir reconnu la forme d'une
question à travers l'évocation du détail de l'activité
: "on a déjà fait cela l'autre jour. Ce n'était
pas des autos, c'était des fleurs, mais c'est pareil".
d) Le choix du matériel.
e) Les stratégies méthodologiques
( travail individuel, collectif, échange....).
f) L'ensemble des connaissances qui ont été
évoquées au cours de la situation d'apprentissage.
Plus le contexte d'apprentissage a été riche de ce point
de vue, plus l'enseignant a cherché à solliciter l'ensemble
des ressources des élèves, plus il est aisé pour
l'élève de retrouver une connaissance, puisqu'elle a été
mise en mémoire non pas de façon isolée, mais en
relation avec beaucoup d'autres.
L'apprentissage par résolution de problème, qui confronte
l'élève à la complexité, constitue un contexte
particulièrement riche en indices variés permettant la récupération
des connaissances.
g) L’évaluation que l'élève
a reçue de son travail. C'est ce qui lui permet de savoir
clairement ce qu'il sait bien, ce qu'il sait moins bien, etc., de se savoir
et de se sentir compétent : " cela, je sais le faire, je l'ai
déjà fait souvent et la maîtresse m'a dit que c'était
bien ".
Les éléments du contexte d'apprentissage servent aux élèves
de points d'appui pour retrouver des connaissances en mémoire dans
des situations nouvelles; plus le contexte est riche et varié plus
il est facile de retrouver dans une situation nouvelle des ressemblances
qui permettent de rappeler les connaissances apprises (c'est ce que l'on
appelle en psychologie les indices de récupération).
On parle de transfert lorsque les connaissances
acquises se font de moins en moins dépendantes du contexte d'apprentissage,
lorsque les élèves sont capables d'utiliser des connaissances,
acquises dans une situation particulière, dans des contextes nouveaux
et de plus en plus éloignés de cette situation initiale.
Les connaissances mises en mémoire sont alors
directement récupérées par la reconnaissance de la
structure, de l'aspect formel de la situation, sans avoir besoin de revenir
au souvenir de la situation d'apprentissage. Le transfert suppose donc
abstraction et généralisation.
Le transfert s'apprend, en même temps que les connaissances, dans
le temps de décontextualisation, où l'on se préoccupe
de la généralisation et de l'utilisation de ce que l'on
vient d'apprendre dans des situations nouvelles et différentes.
Objectifs
Un objectif
est un énoncé d'intention qui décrit le résultat
attendu à la suite d'une action.
En pédagogie, l'objectif énonce ce que l'on veut que l'élève
sache et/ou sache faire après un temps d'apprentissage.
Il faut distinguer :
la pédagogie par objectifs qui est une conception de l'apprentissage
scolaire, issue de la théorie béhavioriste de l'apprentissage.
Dans cette conception, les objectifs sont définis en termes de
comportements strictement observables (si l'élève montre
qu'il sait faire, on peut en conclure qu'il a appris). Ils sont réalisés
en découpant une compétence visée en unités
minimales (micro-compétences), présentées à
l'élève les unes après les autres et dans un ordre
fixe et précis.
la fixation d'objectifs pédagogiques qui est le fondement
nécessaire de tout acte d'enseignement. L'enseignant ne peut assurer
aux élèves un apprentissage cohérent que s'il définit
et fixe des objectifs. Ces objectifs ne se limitent pas au constat de
savoir-faire. Ils visent en même temps l'acquisition de connaissances
et de savoir-faire et le fonctionnement cognitif de l'élève,
dont dépend la construction de ces connaissances et de ces savoir-faire.
La
définition des objectifs
Elle
tient compte de l'état de savoir actuel des élèves
: l'évaluation des connaissances ou des représentations
initiales permet à l'enseignant de déterminer les modifications
à apporter à cet état de savoir. L'objectif se présente
alors comme une connaissance à construire à travers un obstacle
à franchir (objectif-obstacle). La situation d'apprentissage, dans
le détail de ses différentes activités, organise
le franchissement de cet obstacle.
Elle
identifie la nature des tâches cognitives à mettre en oeuvre
: quel est le travail cognitif nécessaire pour atteindre l'objectif
fixé ? Les activités seront donc choisies en fonction de
la nature de l'activité cognitive qu'elles engagent. Les modalités
de travail et d'échanges, les régulations et les aides apportées
par l'enseignant seront orientées vers le contrôle par l'élève
de son activité cognitive.
Elle
organise les connaissances à acquérir autour de noyaux conceptuels
vers la construction desquels convergent des activités nombreuses
et différenciées. Les activités proposées
viseront donc à la fois la construction d'une connaissance ou d'un
savoir-faire précis, et la mise en relation de ce savoir-faire
ou de cette connaissance avec le champ conceptuel dans lequel ils s'inscrivent.
Ainsi, fabriquer une maison pour la poupée n'est pas seulement
construire par tâtonnement un savoir-faire réglé par
l'image mentale qu'on a d'une maison. Cette activité met en jeu
des propriétés topologiques, des références
à la mesure. Il est important que l'attention des enfants soit
attirée sur ce qui, dans leurs actions, relève de ces champs
conceptuels : ils comparent, ils ajustent ; comment peuvent-ils le faire
sûrement ? Pour quelles parties de la maison auront-ils besoin de
le faire ? etc. C'est cela, au niveau où sont les élèves,
avoir le souci de renvoyer une activité au champ conceptuel clans
lequel elle s'inscrit, c'est-à-dire déjà à
un certain niveau d'abstraction et de généralisation qui
leur permet de contrôler leurs actions et de les anticiper.
Les
objectifs ainsi définis déterminent pour l'enseignant des
priorités.
Ils permettent
d'accueillir les stratégies et les apports des élèves,
et d'en tenir compte pour organiser les activités. Le souci de
l'enseignant est alors de maintenir la cohérence entre ses objectifs
et les moyens utilisés. Pour cela, il s'appuie sur une observation
et sur une évaluation fine et continue qui lui permettent de suivre
et de soutenir le travail cognitif de ses élèves. Il peut
ainsi prendre en compte les motivations des élèves, leurs
représentations des tâches, leurs réactions devant
les difficultés, le sens qu'ils donnent aux situations, sans perdre
de vue les apprentissages qu'il doit leur faire atteindre.
Compétence
"Une
compétence est un ensemble de savoirs, savoir-faire et savoir-être
qui permet d'exercer convenablement un rôle, une fonction ou une
activité. Convenablement signifie ici que le traitement des situations
aboutisse au résultat espéré par celui qui les traite
ou à un résultat optimal. "
D'Hainaut,
Des fins aux objectifs de l'éducation, p. 472
Dans la
terminologie cognitiviste, une compétence englobe :
- des connaissances déclaratives (savoirs) ;
- des connaissances procédurales (savoir-faire, opérations
à exécuter pour atteindre un but) ;
- des attitudes (savoir-être, état mental de préparation
à l'action).
Ces trois dimensions, qui sont articulées et en interaction chez
l'"expert", peuvent présenter des décalages de
développement et être seulement juxtaposées chez l'enfant,
comme chez tout sujet qui apprend.
Le
révélateur d'une compétence est le résultat
obtenu dans une tâche, la performance. Une compétence
n'est généralement pas évaluable directement mais
seulement à travers des performances nombreuses et variées,
desquelles on infère que la compétence du sujet lui permet
d'utiliser des procédures adaptées à ce que chacune
de ces situations a de particulier.
Toutefois,
chez le sujet qui apprend, les décalages de développement
entre les trois dimensions de la compétence font qu'on ne peut
conclure de l'absence de performance à l'absence de savoir.
On peut alors rechercher la présence de la dimension " savoir
" de la compétence à travers des épreuves
dites " de reconnaissance ".
Leur principe est le suivant: un sujet qui apprend est capable de reconnaître
qu'une solution convient à une question, avant d'être capable
de la produire lui-même. Dans ces épreuves, il n'a pas à
démontrer un savoir-faire en produisant une réponse à
une question posée, mais à reconnaître la réponse
qui convient à cette question. Ainsi, quand un jeune enfant ne
réussit pas à réaliser un algorithme, on ne peut
pas en conclure qu'il ne perçoit pas la règle de sa construction.
Il peut en effet être tout à fait capable de reconnaître
entre plusieurs réalisations celle qui correspond à la poursuite
correcte de l'algorithme, il manifeste ainsi une compétence dont
il peut même souvent rendre compte: " c'est bon, parce que
là, il y a un bleu, et puis un grand jaune, etc. ". Et il
nous indique que sa difficulté n'est pas dans la représentation
d'une règle et de sa poursuite, mais dans sa mémoire de
travail: il ne peut pas encore, en même temps, garder la
règle en mémoire de travail, faire attention aux dimensions
des formes, changer de crayon de couleur, ou feuille de gommettes, etc.
Il nous indique par là aussi quelle forme d'aide on peut lui apporter:
une aide à l'organisation de son travail, à la construction
d'une procédure sûre pour réaliser l'ensemble de ces
tâches. Les épreuves de reconnaissance sont donc
précieuses pour apporter à l'enfant l'aide dont il a besoin
pour apprendre.
1.
Compétences générales
Quand on
parle, dans le domaine éducatif, de compétences générales,
on distingue :
- des comportements et des attitudes (savoir accepter les règles,
savoir écouter les autres...)
- des méthodes (savoir planifier son travail, l'organiser dans
le temps, contrôler ce qu'on fait...)
- des opérations mentales ( savoir expliquer, argumenter...)
2.
Compétences cognitives
Quand on
parle de compétences cognitives, on désigne généralement
l'ensemble des opérations nécessaires à tout travail
mental dans le domaine cognitif, c'est-à-dire l'ensemble des opérations
de traitement de l'information qu'un sujet exécute de façon
consciente (ou au moins explicitable) pour apprendre, raisonner, prendre
une décision, évaluer, résoudre un problème,
etc. Dans ces opérations, le sujet :
- extrait de l'information des situations et la traite ;
- organise ses expériences ;
- en construit des représentations (des concepts, des schémas,
des images mentales...);
- traite ces représentations ;
- les fixe en mémoire ;
- les généralise, se rendant ainsi plus capable de traiter
les expériences suivantes.
3.
Compétences métacognitives
II s'agit
des compétences relatives à la prise de conscience et au
contrôle par le sujet de sa propre activité cognitive.
L'ÉQUIPE QUI A CONDUIT CETTE RECHERCHE
Rita DECIME - Coordinatrice du groupe
Anne-Marie RAGOT - Membre expert
Collaboratrices didactiques
Paola AVENATTI - Gioconda BANCOD - AnnaTRIPODl - Irene DEGANI
Institutrices - Ecole Maternelle de COGNE
Cristina ARFUSO - Myriam BROCARD - Claudia FORTE - Ileana IACOMINI
- RsiinaRUFFIER
Institutrices - Ecole Maternelle de ST.-MARCEL1
Gabriella BI0NAZ - Anita DAUDRY - Viola MARCONATO - Antonella
TABOR
Institutrices - Ecole Maternelle de FENIS
Eliana CHENAL - Daniela MINUZZO - Daniela PEDRONI - Irene TOLOSANO
Institutrices - Ecole Maternelle de ST.-VINCENT-Moron
Rosella JUNOD - Elisabetta PERUCCA
Institutrices - Ecole Maternelle de CHALLANT-ST.-ANSELME
Chiara FOSSON - Marisa SARTEUR
Institutrices - Ecole Maternelle de GRESSONEY-ST.-JEAN
Maria STORTO - PatriziaTRENTAZ
Institutrice - Ecole Maternelle de GRESSONEY-LA-TRINITE
Agnese CANALE CLAPETTO
1
École associée à Fénis comme groupe
de travail
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Rita Decime
Inspectrice technique à la retraite.
Au cours de sa carrière elle a été institutrice à
l'école élémentaire, Directrice didactique
de l'école maternelle, Inspectrice technique et Surintendante des
Ecoles.
Elle a collaboré à la création de la méthode
"Valentine et les autres" et à la "Recherche sur
l'école maternelle bilingue en Vallée d'Aoste".
Elle a publié des articles, notamment dans les revues: Lidil, Enfance
et Le français dans le monde.
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