PRENDERSI CURA
DI UNA FRANA
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SPRAY
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MONDOTECA
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L'exposition de Oreste ferrando ,Poesia di terra-Poetnìa, accompagnée d'une importante contribution critique de Francesco Poli, entend montrer le résultat d'un travail de grande envergure que l'artiste valdôtain (1968) a suivi l'année dernière.
Le premier moment a coïncidé avec l'insertion de quelques vers de poésie dans les fissures de la carrière du " Ventoux " de Châtillon, une action qui a été revue il y a plus d'un an. Une partie de la documentation photographique constitue aujourd'hui la base de la réalisation des vitrines que l'artiste décrit comme suit :
" L'organisation des vitrines, qui représente le moment spéculatif de l'évolution de l'action, est une sorte de paysage mental et intérieur qui s'est construit à partir de la sédimentation de mémoires. La vitrine en est, justement, le conteneur, à conserver/soigner dans son point-continu de transformation ; une sorte de maquette abstraite, un travail en échelle : où l'échelle suppose le passage d'un endroit à l'autre, tant physique que mental, crée des distances interchangeables, sert à faire prendre conscience des différentes réalités de la perception et où la vitre constitue la solution de continuité entre l'intérieur et l'extérieur. "
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